Photographie avec superpositions multiples d’images, utilisant Adobe Lightroom et Photoshop. Pas d’intelligence artificielle — et si elle est utilisée, cela sera clairement indiqué avec l’image concernée. ​​​​​​​
L’Univers est incompréhensiblement vaste, un mystère profond, il met à l’épreuve notre compréhension à chaque niveau. Sommes-nous seuls, ou la vie est-elle un phénomène courant ? Peut-être que nous sommes même dans une matrice ? Philosophes, théologiens et scientifiques s’efforcent tous de répondre à ces questions, explorant un vaste éventail de perspectives.

En contemplant pendant des heures des milliards de rochers jurassiques éparpillés le long de la côte de Llantwit Major, au Pays de Galles, le cliché « paysage parfait » me fuyait. Il était évident qu’il y avait des photographies à réaliser ici — mais comment ?

Je m’assis des heures à méditer sur cette étendue apparemment infinie de gris et de roches disséminées. La lumière changeait, la marée se retirait, les gens allaient et venaient, mais les rochers demeuraient silencieux jusqu’à ce que ma propre « théorie du big bang » prenne forme. Je me suis dit que ces roches infinies et disséminées au hasard pouvaient être comparées à des planètes. Ou, en percevant les planètes comme des atomes, l’idée que nous ne sommes que partie d’un 'atome' au sein d’un '
organisme cosmique' bien plus vaste, lui-même partie d’un autre organisme infini, s’est imposée. Avec ce regard décalé, j’ai photographié la scène avec des yeux neufs.

Plus tard, avec une légère intervention et un voyage ultérieur aux roches roses vieilles de trois milliards d’années à Perros-Guirec, en Bretagne, ces mondes cosmiques divergents se sont unis. Un hommage à l’interconnexion complexe de notre planète et à l’immensité de l’Univers qu’elle habite et qui la dépasse.

En contemplant l’Univers, on se rappelle la fragilité de l’équilibre terrestre qui soutient la vie. Si le cosmos paraît éternel et infini, notre planète fait face à des défis environnementaux urgents. Protéger cette harmonie délicate nécessite une action immédiate pour préserver notre seule maison connue.
(Traduction de l'anglais vers le français par Google Translate) ​​​​​​​
UNIVERSE A. La photographie d'arrière-plan de cette image composite a été prise sur un site côtier du Pays de Galles, au Royaume-Uni, et montre de nombreuses roches jurassiques. Au-dessus des rochers se trouvent trois images sphériques représentant des planètes. L'arrière-plan est d'un bleu neutre, tandis que les « planètes » sont dans des tons de rouge, de bleu et de vert. En considérant l'Univers comme des atomes sur Terre, on peut envisager l'idée que nous faisons partie de quelque chose d'infini.
UNIVERSE A
UNIVERSE B,  La photographie d'arrière-plan de cette image composite a été prise sur un site côtier en Bretagne, en France, montrant de nombreuses roches rouges du Jurassique. Flottant au-dessus des rochers, deux images sphériques représentent des planètes. L'image entière est dans des tons de rouge et d'or. En considérant l'Univers comme apparenté aux atomes sur Terre, on évoque l'idée que nous faisons partie de quelque chose d'infini.
UNIVERSE B
UNIVERSE C,  La photographie d'arrière-plan de cette image composite a été prise sur une côte du Pays de Galles, au Royaume-Uni. Elle montre une formation rocheuse jurassique à base grise. Au-dessus flottent six images sphériques représentant des planètes. L'arrière-plan, avec son effet de zoom, donne l'impression que les planètes sont « aspirées » vers un trou noir.
UNIVERSE C
UNIVERSE D,  La photographie d'arrière-plan de cette image composite a été prise sur un site côtier au Pays de Galles, au Royaume-Uni, montrant une formation rocheuse jurassique à base grise avec des millions de rochers dispersés s'étendant du premier plan à l'horizon. Assis sur la roche de base jurassique se trouvent six images sphériques qui représentent des planètes. les planètes d'une forme de flèche de haut à droite à bas à gauche.
UNIVERSE D

COLLECTION L'UNIVERS   courte vidéo promotionnelle pour la collection

La photographie originale est une route en macadam avec beaucoup de verre de pare-brise cassé. À ce métal, des pièces ont été ajoutées en tant que débris flottants orbitant autour d’une planète/lune bleue lointaine. L’illusion ressemble à des débris flottants dans l’espace.
DÉBRIS SPATIAUX    Les débris spatiaux menacent la sécurité et la durabilité de l’exploration spatiale et contribuent à la pollution atmosphérique qui met en danger la couche d’ozone terrestre et la stabilité climatique. L’oxyde d’aluminium, un produit de la combustion des alliages à base d’aluminium, est connu pour sa capacité à détruire l’ozone. La couche d’ozone de la Terre réside dans la stratosphère, où les polluants créés par les réentrées des satellites ont été surveillés. De plus, les particules d’oxyde d’aluminium peuvent altérer l’albédo de la Terre, la capacité de la planète à réfléchir la lumière.  Le problème exige une action mondiale coordonnée pour l’élimination des débris et une gestion responsable du trafic spatial afin de prévenir les conséquences environnementales aggravantes. (sources : space.com, Scientific American, Agence Spatiale Européenne) 
 Les mauvaises stratégies écologiques de l’homme ne sont pas seulement réservées à sa planète mais s’étendent au-delà de l’atmosphère.

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